Au XIe siècle, les chevaliers étaient presque entièrement recouverts d'une armure de maille.
C'etait un assemblage de petits anneaux d'acier qui formaient un tissu assez solide pour protégé la plupart des coups tranchants.
Toute armure, ou harmois ,ainsi que l'on dénomait la cotte de maille, devait être soigneusement conçue.La maille était très chaire.
Les étapes de la fabrication de l'épée
Battre le fer quand il est chaud.
Le fer arrive chez l'armurier sous forme de bloc qu'il faut chauffer et amincir à l'aide d'un lourd marteau .
Quand la feuille est suffisamment fine ,l'artisan la découpe aux dimension voulues et la façonne sur l'enclume avec des marteaux plus légers.
Passer à la meule.
Les armes telles que les épée, les haches et les lances sont aiguisées à la meule : une roue faite avec une pierre rugeuse comme le granite.
l'ouvrier fait tourner la roue au mouyen d'une pèdale placée sous son pied.
Il pose la lame sur la meule selon un angle bien précis afin d'obtenir un tranchant parfait.
La coiffe militaire
La coiffe militaireest un casque formé en quatre étape.
chevaliers et soldarts portent un casque. La fabrication d'un bassinet,de forme conique, se fait en quatre étapes.
1)
LaChaufer une plaque de fer afin de la ramolir. placer sur un un gabarit et lui donner la forme voulue à l'aide d'un marteau.
2)
Bien polis la surface noircie par le feu et ternis par les coups de marteau.Limer les bords coupants.
3)
Avec un marteau et une pointe rougie ,percer ,à la base du bassinet ,des trous qui permetteront de fixer le col de mailles.
4)
Garnir l'interieur d'une bonne épaisseur de tissu ou de cuir qui sera cousue à une bande de cuir fixée à la base du casque.
Les armuriers se spécialistaient habituellement dans certaines techniques.
D'aucuns façonnaient le métal, d'autre fixaient riverts et charnières, d'autres encore décoraient l'armure une fois terminée.
Au XIIIe siècle, l'armure avait subi plusieurs altération.
La plupart des chevaliers portaient des mitaines de maille (1) qui prolongeaient les manches de leur haubert (2) ; une fente pratiquée dans la paume permettait d'en dégager les mains sans avoir à retirer le reste de l'armure.
clemflo
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