<< |
le support et le papier au moyen-âge |
De nos jours, le livre évoque de façon évidente "cet objet dont on tourne les pages". Le mot « livre » vient du latin liber. Il désigne la pellicule située entre le bois d’un arbre et l’écorce extérieure, qui a porté, avec la pierre, les premières écritures. Durant l’antiquité, les hommes ont utilisé plusieurs supports, des tablettes d’argile ou de cire, des bandes de lin ou de cuir.
Le Parchemin : communément fabriqué à partir de peaux de moutons, chèvre, veaux, agneaux, plus souple et de bien meilleur qualité.
Le Papyrus : La deuxiéme couche est superposée perpendiculairement, le tout est pressé, mis à sécher quelques jours, et enfin lissé avant de recevoir l'écriture, tracée le plus souvent avec un calame.
Les Supports : Parmi tous les supports de l'écrit, la pierre, les feuilles de palmier séchées imbibées d'huile, l'écorce secondaire des arbres, le papyrus, la soie, le lin, les feuilles de plomb, d'or ou d'argent, l'argile, la cire, le parchemin, le papier, etc.
La tablette de cire : C'est une planche de bois fine, couverte de cire...
Au
moyen-âge, tous les livres étaient écrits à la main.
C'étaient les moines qui les écrivaient. Ils recopiaient la bible.
Ceux qui transformaient la peau de parchemin s'appellaient des parcheminiers.
Pour tendre le parchemin, il faut d'abord l'humidifier, mais pas le mouiller,
c'est-à-dire qu'il ne doit pas être en contact direct avec l'eau.
On pliait les feuilles de parchemins en 2, 4, 6, 8...
Le relieur cousait les
cahiers de parchemin.
Latin | Français |
charta : la feuille de papier | charte, carte, carton |
rota : la roue | role |
volumen | volume |
papyrus | papier |
YOHAN, GUILLAUME 5me